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 FANNING ➚ On me dit que nos vies ne valent pas grand chose

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AuteurMessage
Arnaud Lemarchal
Arnaud Lemarchal

YIPPEE-KI-YAY ; motherfucker!


◊ WHO : Jacob 'Jake' Abel
◊ WHERE : Entre Paris et Hawaii
◊ AGE : 23 ans
◊ QUOTE : There might have been a time When I would give myself away. Once upon a time I didn't give a damn But now Here we are So whataya want from me Whataya want from me
◊ MESSAGES : 259
◊ PSEUDO : Camisado
◊ COPYRIGHT : Camisado, Adam Lambert - quote &. signature

FANNING ➚ On me dit que nos vies ne valent pas grand chose _
MessageSujet: FANNING ➚ On me dit que nos vies ne valent pas grand chose   FANNING ➚ On me dit que nos vies ne valent pas grand chose EmptyJeu 6 Jan - 22:04

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DAKOTA FANNING PAR TUMBLR.

lady ϟ marie-ange lemarchal
17 ANS ♦ STATUT AU CHOIX ♦ FRANCAISE ♦ LYCEENE ♦ FRANCE, PARIS ♦ LIBRE
❆ ❆ ❆
good times, bad times
Ici vous ferez part de l'histoire du scénario ainsi que de son caractère. Vous êtes libre de la rédigez ou de simplement donner quelques points importants.
❆ ❆ ❆

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you can't always get what you want
arnaud romain lemarchal Je sentis de fines gouttes d’eau glisser le long de ma joue, roulant dans ma nuque avant de continuer leur route sur mon dos puis le long de mes côtes. La sensation de froid qu’elles provoquaient me tira lentement du sommeil, pas assez cependant pour que je puisse me considérer comme réveillé. Je soupirai, avant de retomber petit à petit dans les bras de Morphée. Le tout avant que je me mette à hurler, à pester contre Marie-Ange, la gamine totalement insupportable qui me servait de petite sœur. J’avais froid. Pas étonnant, d’un côté. Le seau d’eau qu’elle avait jeté sur moi était glacé. C’était comme si je venais de rater mon plongeon et, qu’à la place de faire une entrée dans l’eau tout en douceur, j’étais atterri à la surface en faisant ce que l’on appelle couramment : un plat. Je m’étais levé en sursaut, mit devant le fait accompli. Mon lit était trempé, l’eau s’étant filtré jusque dans le matelas. Je soupirai. Je n’eus même pas le temps de dire le moindre mot, ni même d’ouvrir la bouche, que Marie-Ange prit la parole. « Ecoute moi avant de râler, comme tu le fais si bien. Il est midi, c’est bientôt l’heure de rejoindre papa pour notre déjeuner hebdomadaire et ça faisait un quart d’heure que je te mouillais la joue, la nuque, le dos pour que tu te réveilles, mais pas moyen. Alors.. J’ai utilisé la manière forte. » Elle affichait sur son visage un air victorieux, illustré par un immense sourire. C’est à cet instant que je remarquai le mal de crâne lancinant qui venait me frapper, d’un seul coup, au souvenir du repas que je devais, comme chaque semaine, partager avec celui qui était censé être mon père, mais que je n’avais plus considérer comme tel depuis qu’il avait commencé à me présenter ses maîtresses. Toutes avec des gros nibards. Pas étonnant qu’après ça, je sois devenu gay. C‘est alors que me vint des souvenirs, légèrement flous, de la soirée de la veille. Je n‘aurais pas dût sortir hier, voilà la conclusion que je pouvais en tirer. Je n‘aurais pas dût non plus enchaîner les shots de vodka et les coupes de champagne. Tout comme je n‘aurais pas dût me taper cette touriste espagnole dans les chiottes de la boîte de nuit. Quoi que, je n‘étais plus à ça prêt. Sans même prendre la peine de répondre à ce que m‘avais dit ma sœur, je lui demandai, la voix légèrement roque : « T‘aurais pas, par hasard.. » Elle ne me laissa pas finir. « De l’aspirine? Derrière toi. » Je souris. Elle pensait décidément à tout, tout le temps. A tel point que, par moment, j’en venais à me demander qui de nous deux était l’aîné et qui était censé veillé sur l’autre. La question ne se posait même plus, en vérité. On veillait simplement l’un sur l’autre. Elle surveillai à ce que je n’aille pas au-delà de mes limites tandis que, de mon côté, je faisais gaffe au fait qu’elle n’essaye même pas d’y toucher. S’il y avait bien une chose que je ne voulais pas, c’était qu’elle me ressemble.

Assis sur la plage de l‘hôtel, je fumais ma cigarette, la regardant se consumer d‘une façon identique à celle de ma vie. Un tas de cendres laissé après divers incendies, voilà ce que c‘était. La séparation de mes parents, la descente aux enfers de ma mère et le total manque d‘humanisme de mon père envers elle avaient été dévastateurs. J’étais toujours habillé de mon costume, ne prêtant pas attention aux risques que j’avais de le salir. Mes yeux fixaient l’horizon qui s’étendait à perte de vue, légèrement troublée par le relief d’une île voisine. Le déjeuner s’était passé sans encombres. Pour ne pas risquer les conflits, nous avions appris à ne pas parler de sujet tabous comme ce que je comptais faire plus tard concernant mon gagne-pain, ou encore mon homosexualité. D’ailleurs, Armand n’était même pas au courant. Comme toute ma famille, hormis Marie-Ange, il croyait que j’étais en couple avec Garance, dont il me demandait à chaque fois des nouvelles, plus par politesse que par réel intérêt. Lui annoncer que j’aimais les hommes aurait été comme lui dire que mon costume était une contrefaçon. Quoi qu‘il en soit, je n‘étais pas mécontent que tout soit enfin finit. Soudain, j‘entendis des pas venir derrière moi avant de s‘arrêter à mon niveau. Ma sœur. Elle s‘assit à mes côtés et posa sa tête sur mon épaule. « Reste pas là, tout seul. C‘est pas ça qui changera les choses. On peut rien y faire. » Je ne répondis pas, je n‘en avais pas besoin pour lui faire comprendre que j‘étais du même avis qu‘elle. On resta là, à ne rien dire, pendant plusieurs minutes. Elle finit par reprendre la parole. « Tu devais pas rejoindre ton sexy américain? Dépêche, c‘est bientôt l‘heure. » Sans rien ajouter, elle se releva et me tendit sa main pour que je fasse de même.


i don't want to miss a thing
Ici vous direz le mot de la fin. Vous indiquerez ce qui est négociable ou non dans votre scénario, vous indiquerez vos attentes quant au joueur qui décidera de jouer votre bébé (niveau rp, présence.. ect) et si vous êtes bien lunés vous glisserez un mot doux afin d'appâter la bête.
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